En 2000, quand survint la première alternance politique au Sénégal, Abdoulaye Baldé s’est vu proposé la direction de la police nationale et le secrétariat général de la Présidence. Mais il a opté pour le deuxième poste.
La raison ? « J’ai dit à Idrissa Seck que je risquais de déstructurer la police parce que j’étais commissaire et certains gradés pouvaient en être frustrés », déclare-t-il.
Baldé fut commissaire de police et chef de la Brigade nationale des affaires économiques et financières.