Venu soutenir – avec des dons sanitaires – mais surtout féliciter le ministre de la Santé et de l’Action sociale, absent pour participer à un conseil de sécurité, le ministre mais aussi président du parti MODEL Ibrahima Sall a été accueilli par le Secrétaire général, le directeur des ressources humaines, le président du Comité pour les dons de la structure ministérielle.
« Je suis venu donner notre modeste contribution, celle du parti et de moi-même à cette lutte contre la pandémie du Coronavirus. Nous l’avons fait hier à Darou Mouhty où nous avons remis un lot important de détergents, de produits d’hygiènes etc. pour mieux prévenir et contrecarrer cette maladie. Nous venons de faire la même chose, aujourd’hui, avec le ministère de la Santé », a annoncé Ibrahima Sall.
Toutefois, il donne les raisons de cette activité : « Parce que je crois qu’il est du devoir de chaque citoyen sénégalais de se battre auprès du Président Macky Sall, du gouvernement, de nos chefs religieux pour que les populations sénégalaises soient préservées de cette calamité mondiale ».
Mais pour cela, il croit « que le peuple doit être plus discipliné et ne pas croire que ça n’arrive qu’aux autres. Si vous regardez l’Italie, il y a un mois, elle avait une dizaine de cas et aujourd’hui, catastrophe, les morts sont dénombrés à 4000. Cela doit être une leçon pour nous, un enseignement pour tout le monde ».
Le président du Model explique que « le Coronavirus évolue de façon exponentielle et je crois les sénégalais doivent être conscients de cet aspect plus qu’inquiétant, mortel ». Alors, il invite à aller et agir dans le même sens que le président de la République qui « a fait un effort par son discours, par son soutien et ses prises de décision pour la sécurité de nation ».
Ainsi, comme à chacune de ces occasions, M. Sall en profite « pour féliciter et encourager le personnel médical qui abat un travail colossal pour protéger et les vies en endiguant cette maladie ».
Et pour lui, « la seule et plus grande façon de les encourager, c’est de rester chez soi. Ne pas se calfeutrer, mais se déplacer le moins possible pour qu’on n’arrive pas à des solutions ou situations extrêmes ».
Tract@mars2020