« Il y a quatre ou cinq catégories d’interventions. Il y a des intervenants qui n’ont pas lu le projet mis à leur appréciation : délibérément ou soit parce qu’ils ne savent pas lire. Il y a un autre groupe qui est constitué des victimes du 24 février 2019, qui n’ont pas encore digéré leur rancœur. En tant que garde des sceaux, je ne peux rien pour eux. Ou tout au plus leur dire « massa », dira-t-il.
Le ministre de revenir plus fort en s’attaquant aux députés de Rewmi.
« Nous sommes dans un pays ou apparemment dans certains cercles, l’amnésie est devenue une vertu. J’ai été étonné d’entendre parler ceux qui sont aujourd’hui derrière les rédacteurs du protocole de Rebeuss, d’indécence républicaine. Ils devaient être les derniers à soulever ce genre de débat à l’Assemblée nationale », a-t-il noté, dans une allusion claire à Idrissa Seck.